Il était une fois... la vie ordinaire,
Comme vous ne l'avez jamais vue
Il y a tellement de pourquoi sans réponses...
Des regards vers le ciel qui se perdent,
Des gorgées de vin qui engloutissent tout,
Des mots qui s'étouffent aux bords des lèvres,
Des larmes qui ne font qu'effleurer l’œil, sans verser,
Des battements de cœurs qui ne seront jamais entendus.
Il y a de ces détresses sans nom, qui, dans le silence,
Restent sans voix. Il y a des horreurs...
Qui ne se disent pas.
De l'amour jamais reçu,
Des espoirs perdus,
Des peurs restées figées dans l'impuissance.
Il existe aussi des sourires mystérieux
Ceux qui, le temps d'un futile instant,
Ont trouvé un écho qui s'en va...
On s'en souviendra.
Il y a des choses qu'on a vu,
Qu'on sait que les autres ne savent pas,
Les choses qui ne se disent pas:
La mort et la vie, la souffrance et la détresse,
La joie et la fierté, la peur et la colère,
La déception et le soulagement,
Les larmes et le sourire,
Le cœur qui se gonfle: la vie!
Il y a ce seuil du silence qui, parfois,
Nous traverse et dans un souffle, nous habite.
Et s'envole. C'était ça: Le Moment.
Il fallait être là, sur place, pour savoir,
Pour le sentir, pour le vivre, pour y être,
Pour en être.
Il y a de ces instants qui, à jamais,
Vous changent et vous rendent autre.
Vous, l'unique: le résultat de L'Expérience.
Réflexions kaléidoscopiques
Et tous les autres mots du cœur...
samedi 25 avril 2020
vendredi 10 janvier 2020
Le souvenir
Le coeur a ses raisons que la raison ne connait pas.
Le coeur se gonfle et son battement s'arrête le temps d'un instant, le souffle coupé. C'est lui. C'est encore lui, ce souvenir. Il est là, moi plongée dans l'infini de son regard, en silence, et il est bien logé dans mon coeur, comme une âme qu'on recueuille en soi et qu'on oublie jamais, comme une ombre furtive qui passe au milieu de mes pensées, parfois, et laisse cette trace indélébile d'une douceur à laquelle j'aspire mais qui ne vient pas, prisonnière d'un seuil que je ne peux jamais franchir, arrêtée net dans mon élan, comme pétrifiée, le coeur plein d'espoirs inutiles qui ne s'envolent pas.
Et il ne reste plus que ce temps suspendu, dans une attente éternelle, se transformant en une douce patience qui espère sans y croire... Un visage, un moment qu'on oublie pas, un désir interminable, chérir avec son coeur et son âme, au-delà des jours qui se sont enfuis depuis longtemps déjà.
Et s'en impreigner, le respirer comme un air vif d'hiver à plein poumons comme ce vent de liberté auquel nul ne renonce, comme un appel dirigé vers cet impossible désir qui se rappelle à soi, pointe son nez à des moments inattendus, replonge dans ce noir mélange d'un passé qui ne s'efface pas. S'arrêter, l'instant de mettre le pied là où il faut aller, continuer, tout en gardant, par devers soi, ce moment chéri qui habite le coeur, le fait battre et trouver le courage d'avancer encore.
Un souvenir, voilà ce que c'est maintenant. Ce n'est plus que ça, et pourtant, son poids est lourd à mon coeur comme une brique qui tombe dans l'infini d'un profond lac sans fond agitant toujours la surface du lac de sillons de plus en plus larges. L'influence d'un moment d'impact dont on découvre et redécouvre le comment, ils ont, ces souvenirs, changé quelque chose d'essentiel en soi, un quelque chose auquel on s'est attaché, parfois sans s'en rendre compte, et qui une fois parti, vire le coeur à l'envers, car le passé est perdu, ne reviendra pas, et il ne reste que cette empreinte qui, au fond du coeur, continu, subtilement, de faire des vagues, nous ramenant en arrière chaque fois que la vague frappe la berge de notre conscience.
C'est le deuil. C'est le moment où le possible est devenu impossible. Ce chemin-là est barré, on ne peut plus s'y avanturer, mais on se souvient bien qu'il fut un temps où c'était dans le champ des possibles, qu'on pouvait imaginer la route qui y mène.
Aujourd'hui, c'est devenu un chemin sombre, cahoteux, où personne ne veut aller. C'est le chemin de ce qui meurt et s'éteint, de ce qui disparait dans la brume et ne revient pas. C'est là où le chemin s'arrête, continuant dans un ailleurs inaccessible au moment présent.
Le coeur se gonfle et son battement s'arrête le temps d'un instant, le souffle coupé. C'est lui. C'est encore lui, ce souvenir. Il est là, moi plongée dans l'infini de son regard, en silence, et il est bien logé dans mon coeur, comme une âme qu'on recueuille en soi et qu'on oublie jamais, comme une ombre furtive qui passe au milieu de mes pensées, parfois, et laisse cette trace indélébile d'une douceur à laquelle j'aspire mais qui ne vient pas, prisonnière d'un seuil que je ne peux jamais franchir, arrêtée net dans mon élan, comme pétrifiée, le coeur plein d'espoirs inutiles qui ne s'envolent pas.
Et il ne reste plus que ce temps suspendu, dans une attente éternelle, se transformant en une douce patience qui espère sans y croire... Un visage, un moment qu'on oublie pas, un désir interminable, chérir avec son coeur et son âme, au-delà des jours qui se sont enfuis depuis longtemps déjà.
Et s'en impreigner, le respirer comme un air vif d'hiver à plein poumons comme ce vent de liberté auquel nul ne renonce, comme un appel dirigé vers cet impossible désir qui se rappelle à soi, pointe son nez à des moments inattendus, replonge dans ce noir mélange d'un passé qui ne s'efface pas. S'arrêter, l'instant de mettre le pied là où il faut aller, continuer, tout en gardant, par devers soi, ce moment chéri qui habite le coeur, le fait battre et trouver le courage d'avancer encore.
Un souvenir, voilà ce que c'est maintenant. Ce n'est plus que ça, et pourtant, son poids est lourd à mon coeur comme une brique qui tombe dans l'infini d'un profond lac sans fond agitant toujours la surface du lac de sillons de plus en plus larges. L'influence d'un moment d'impact dont on découvre et redécouvre le comment, ils ont, ces souvenirs, changé quelque chose d'essentiel en soi, un quelque chose auquel on s'est attaché, parfois sans s'en rendre compte, et qui une fois parti, vire le coeur à l'envers, car le passé est perdu, ne reviendra pas, et il ne reste que cette empreinte qui, au fond du coeur, continu, subtilement, de faire des vagues, nous ramenant en arrière chaque fois que la vague frappe la berge de notre conscience.
C'est le deuil. C'est le moment où le possible est devenu impossible. Ce chemin-là est barré, on ne peut plus s'y avanturer, mais on se souvient bien qu'il fut un temps où c'était dans le champ des possibles, qu'on pouvait imaginer la route qui y mène.
Aujourd'hui, c'est devenu un chemin sombre, cahoteux, où personne ne veut aller. C'est le chemin de ce qui meurt et s'éteint, de ce qui disparait dans la brume et ne revient pas. C'est là où le chemin s'arrête, continuant dans un ailleurs inaccessible au moment présent.
lundi 19 août 2013
"As-tu un chien?"
Vraiment, impossible de savoir ce que les gens ont en tête. "As-tu un chien?"
C'est l'étrange et intriguante question que mon nouveau voisin est venu me poser.
Étant d'un naturel curieux, j'ai brodé sur ses raisons :
a) Le hall d'entré commun sent le pipi depuis que j'ai améngé. (Ce jour-là, j'ai surpris le chat de la voisine en train d'entrer à l'intérieur. C'est certain que le minet, pas opéré, y a fait ses marques. Le pipi de chat, ça sent fort et longtemps, même le jus de tomate n'y fait rien.) Donc, le voisin a associé l'odeur persistante avec le moment de mon arrivée, et, ayant parfaitement remarqué que je ne sors pas faire pisser un chien, en a déduit que mon chien pisse dans le hall. Dégoûté, il m'a demandé: "As-tu un chien?"
b) Mon plancher couïne si fort (c'est l'enfer), que lorsque je marche dans mon corridor, c'est comme si j'avais un de ces petits chiens fatiguants qui vous gosse en aboyant : "Wiwiwi! Wiwiwi!". Donc, quand après être restée tranquille dans le silence pendant des heures à composer des textes, je me rends, terriblement tard, jusqu'à mon lit : "Wiwiwi! Wiwiwi!"... (j'ai beau être légère, y'a rien à faire) "Wiwiwi!", le voisin émet pour conclusion que s'il me voit partir tous les matins, mais qu'il entend Wiwiwi la nuit, c'est que je dois avoir un chien. Il est donc venu chez moi me demander : "As-tu un chien?" en oubliant qu'il aurait été plus clair de dire "J'entends du bruit la nuit."
c) Le voisin me trouve jolie. Ça fait des semaines qu'il rêve de me parler. Il avait préparé quelque chose d'intelligent à me dire, mais quand j'ai ouvert la porte, super-occupée à parler au téléphone (c'était juste ma mère, elle comprend, mais le voisin, lui, il le savait pas), ça l'a surpris, mis mal-à-l'aise, et il a perdu ses jolis mots. Il m'a donc lancé le premier truc qui lui a passé par la tête : "As-tu un chien?"
d) Mon ex, propriétaire d'un énorme chien dont il a la garde partagée une semaine sur deux avec son ex-ex (l'autre fille avant moi quoi), quoiqu'il prétende être mon ex et ne plus s'intéresser à moi le moindre du monde, n'a pu s'empêcher de venir fouiner chez nous parce que je ne lui ai pas assez montré de photos de mon nouveaux chez nous. Évidement, un grand danois, ça ne passe pas inapperçu, pas plus qu'un ex-petit-ami social à la grande gueule qui a raconté, Dieu seul sait quoi à mon voisin, ce qui l'a convaincu que j'avais un chien. Parce que je parlais fort au téléphone, il savait que j'étais là, et en a profité pour faire un saut chez moi pour vérifier les dires de mon ex. Se renseignant, il m'a lancé : "As-tu un chien?".
e) Platement, l'un des voisin du cartier a perdu son chien, un p'tit pitou est venu se réfugier chez mon voisin qui l'a nourri, pris en affection, et après avoir réalisé oh combien un animal si sympathique devait manquer à son maître, s'est mis en devoir de se mettre à la recherche du dit propriétaire:"As-tu un chien?", s'est-il enqueri.
f) Le voisin, après que je fus allée visiter mes parents, qui ont la garde permanente de mon pauvre petit minet adoré, m'a apperçu rentrer chez moi les vêtements plein de poils. Il s'est tout simplement dit : "Elle doit avoir un animal, peut-être un chien..." Et comme mon voisin est quelqu'un de strict et respectueux, et que le réglement de l'immeuble stipule que les animaux sont InTerDit, il est venu vérifier si s'enffreingnait le réglement. "As-tu un chien?!?", s'est-il renseigné avec suspiscion.
g) Un autre des locataires s'est acheté un chien, et ce, malgré le règlement de l'immeuble. Mon voisin se fout complètement du règlement, MAIS, il a eu le malheur de mettre les pieds dans une crotte. Puis, faisant tout à coup attention où il mettait les pieds, il en a vue une deuxième, et merde!, puis une troisième, Oh shit! À la quatrième, c'en était fait, il était en Tabarnak : "Non mais, pour qui il se prend celui qui laisse trainer les Osties-de-Crisse-de-Crottes de son chien? M'en vas lui dire ma façon de penser." Donc, il s'est mis en quête de trouver le coupable, le QUI a OSÉ laisser des crottes de chien sur le terrain, et il a discrètement cogné à ma porte, retenant sa colère, il a prononcé du bout des lèvres: "As-tu un chien?"
C'est comme de jouer à Clue : Humm... je pense que c'est Starlette avec le chandellier dans le salon. Aaah... non, plutôt le Colonnel Moutarde avec la corde dans la cuisine, à moins que ce soit la femme de ménage avec le couteau dans la salle de billard? Mouais, c'est sûrement ça la meilleure hypothèse!
C'est l'étrange et intriguante question que mon nouveau voisin est venu me poser.
Étant d'un naturel curieux, j'ai brodé sur ses raisons :
a) Le hall d'entré commun sent le pipi depuis que j'ai améngé. (Ce jour-là, j'ai surpris le chat de la voisine en train d'entrer à l'intérieur. C'est certain que le minet, pas opéré, y a fait ses marques. Le pipi de chat, ça sent fort et longtemps, même le jus de tomate n'y fait rien.) Donc, le voisin a associé l'odeur persistante avec le moment de mon arrivée, et, ayant parfaitement remarqué que je ne sors pas faire pisser un chien, en a déduit que mon chien pisse dans le hall. Dégoûté, il m'a demandé: "As-tu un chien?"
b) Mon plancher couïne si fort (c'est l'enfer), que lorsque je marche dans mon corridor, c'est comme si j'avais un de ces petits chiens fatiguants qui vous gosse en aboyant : "Wiwiwi! Wiwiwi!". Donc, quand après être restée tranquille dans le silence pendant des heures à composer des textes, je me rends, terriblement tard, jusqu'à mon lit : "Wiwiwi! Wiwiwi!"... (j'ai beau être légère, y'a rien à faire) "Wiwiwi!", le voisin émet pour conclusion que s'il me voit partir tous les matins, mais qu'il entend Wiwiwi la nuit, c'est que je dois avoir un chien. Il est donc venu chez moi me demander : "As-tu un chien?" en oubliant qu'il aurait été plus clair de dire "J'entends du bruit la nuit."
c) Le voisin me trouve jolie. Ça fait des semaines qu'il rêve de me parler. Il avait préparé quelque chose d'intelligent à me dire, mais quand j'ai ouvert la porte, super-occupée à parler au téléphone (c'était juste ma mère, elle comprend, mais le voisin, lui, il le savait pas), ça l'a surpris, mis mal-à-l'aise, et il a perdu ses jolis mots. Il m'a donc lancé le premier truc qui lui a passé par la tête : "As-tu un chien?"
d) Mon ex, propriétaire d'un énorme chien dont il a la garde partagée une semaine sur deux avec son ex-ex (l'autre fille avant moi quoi), quoiqu'il prétende être mon ex et ne plus s'intéresser à moi le moindre du monde, n'a pu s'empêcher de venir fouiner chez nous parce que je ne lui ai pas assez montré de photos de mon nouveaux chez nous. Évidement, un grand danois, ça ne passe pas inapperçu, pas plus qu'un ex-petit-ami social à la grande gueule qui a raconté, Dieu seul sait quoi à mon voisin, ce qui l'a convaincu que j'avais un chien. Parce que je parlais fort au téléphone, il savait que j'étais là, et en a profité pour faire un saut chez moi pour vérifier les dires de mon ex. Se renseignant, il m'a lancé : "As-tu un chien?".
e) Platement, l'un des voisin du cartier a perdu son chien, un p'tit pitou est venu se réfugier chez mon voisin qui l'a nourri, pris en affection, et après avoir réalisé oh combien un animal si sympathique devait manquer à son maître, s'est mis en devoir de se mettre à la recherche du dit propriétaire:"As-tu un chien?", s'est-il enqueri.
f) Le voisin, après que je fus allée visiter mes parents, qui ont la garde permanente de mon pauvre petit minet adoré, m'a apperçu rentrer chez moi les vêtements plein de poils. Il s'est tout simplement dit : "Elle doit avoir un animal, peut-être un chien..." Et comme mon voisin est quelqu'un de strict et respectueux, et que le réglement de l'immeuble stipule que les animaux sont InTerDit, il est venu vérifier si s'enffreingnait le réglement. "As-tu un chien?!?", s'est-il renseigné avec suspiscion.
g) Un autre des locataires s'est acheté un chien, et ce, malgré le règlement de l'immeuble. Mon voisin se fout complètement du règlement, MAIS, il a eu le malheur de mettre les pieds dans une crotte. Puis, faisant tout à coup attention où il mettait les pieds, il en a vue une deuxième, et merde!, puis une troisième, Oh shit! À la quatrième, c'en était fait, il était en Tabarnak : "Non mais, pour qui il se prend celui qui laisse trainer les Osties-de-Crisse-de-Crottes de son chien? M'en vas lui dire ma façon de penser." Donc, il s'est mis en quête de trouver le coupable, le QUI a OSÉ laisser des crottes de chien sur le terrain, et il a discrètement cogné à ma porte, retenant sa colère, il a prononcé du bout des lèvres: "As-tu un chien?"
C'est comme de jouer à Clue : Humm... je pense que c'est Starlette avec le chandellier dans le salon. Aaah... non, plutôt le Colonnel Moutarde avec la corde dans la cuisine, à moins que ce soit la femme de ménage avec le couteau dans la salle de billard? Mouais, c'est sûrement ça la meilleure hypothèse!
mercredi 2 janvier 2013
To look like or to be
Why I didn't beleive you?
You promised me things you don't even dreamt of
Maybe you thought that
This is what I want, so you just tried to make it true
You imagined a perfect world
A perfect girl who doesn't exist in a life not for you nor than me
And then, when things began
To get a little serious between us you were afraid of your own false dreams
And you ran away like a tief
Like a lier, like a coward, like a man that can't bear to be engaged
But, do you know what?
I didn't beleive you a second. I know you more than you think
I'm not that little innocent pretty girl
Because I grew up in a richer familly and I have a higher education then you
I don't even dream of your perfect
Little silly fictive world : in a beautiful castle near the beach
You didn't even think it's worthwhile
To ask me what I want the most. It's like you didn't even care
You know what? I know it isn't that
I know why you did that, the reason why you treated me as a bitch
Maybe you dream of love
Of a home, a place to be yourself, like the rest of us
Maybe you were told
A perfect life would be this silly perfect smiling family
An American Dream, a quiet hapiness
A pretty house, beautiful children, everyone smiling from sunrise to down
You know what, at night they cry
We all know that this doesn't exist. Not even a single day!
Maybe you tought you can act it
Do as if you're that man, the one that fit in that silly dream
I didn't beleive you
Not even a second. I loved you because you're not that perfect man!
Maybe you want to repair
That life you tried to have with that woman who stole your boy!
Maybe you imagined you can
Build this home you never had when you were young.
Don't be a fool! This doesn't exist
There is just us, little people with our own big problems
We can go mad in any situation
We aren't allowed to be ourselves : Me, you, all of us
Why did you try to beleive in that?
That you can be a man that you're not? Please, try to love yourself first
Yes, as you are, as you're born to be
Accept also that I'm not and will never be someone else than me!
I'm not the devil nor than an angel
I'm not innocent nor than omniscient. I'm just me as you are just you
I didn't beleive you because
You didn't even beleive in what you said but, you know what?
I still beleive in you
This doesn't mean we should be together, forever, that silly dream!
This just mean that whatever
You try to look like, I'm not blind. The one I love Is your true you
I know you look like a man
Who do not care about my words but, you know what? I know you care.
You promised me things you don't even dreamt of
Maybe you thought that
This is what I want, so you just tried to make it true
You imagined a perfect world
A perfect girl who doesn't exist in a life not for you nor than me
And then, when things began
To get a little serious between us you were afraid of your own false dreams
And you ran away like a tief
Like a lier, like a coward, like a man that can't bear to be engaged
But, do you know what?
I didn't beleive you a second. I know you more than you think
I'm not that little innocent pretty girl
Because I grew up in a richer familly and I have a higher education then you
I don't even dream of your perfect
Little silly fictive world : in a beautiful castle near the beach
You didn't even think it's worthwhile
To ask me what I want the most. It's like you didn't even care
You know what? I know it isn't that
I know why you did that, the reason why you treated me as a bitch
Maybe you dream of love
Of a home, a place to be yourself, like the rest of us
Maybe you were told
A perfect life would be this silly perfect smiling family
An American Dream, a quiet hapiness
A pretty house, beautiful children, everyone smiling from sunrise to down
You know what, at night they cry
We all know that this doesn't exist. Not even a single day!
Maybe you tought you can act it
Do as if you're that man, the one that fit in that silly dream
I didn't beleive you
Not even a second. I loved you because you're not that perfect man!
Maybe you want to repair
That life you tried to have with that woman who stole your boy!
Maybe you imagined you can
Build this home you never had when you were young.
Don't be a fool! This doesn't exist
There is just us, little people with our own big problems
We can go mad in any situation
We aren't allowed to be ourselves : Me, you, all of us
Why did you try to beleive in that?
That you can be a man that you're not? Please, try to love yourself first
Yes, as you are, as you're born to be
Accept also that I'm not and will never be someone else than me!
I'm not the devil nor than an angel
I'm not innocent nor than omniscient. I'm just me as you are just you
I didn't beleive you because
You didn't even beleive in what you said but, you know what?
I still beleive in you
This doesn't mean we should be together, forever, that silly dream!
This just mean that whatever
You try to look like, I'm not blind. The one I love Is your true you
I know you look like a man
Who do not care about my words but, you know what? I know you care.
Destiny against Reality
Reality isn't easy. Reality isn't human
Reality has no mercy. But don't forget!
If you dare to try to make your dreams real
They'll come true, one day or another.
In a way or another, life isn't easy
There is always a duty waiting for us
And now how can we feel free to live?
The solution is to be ourselves.
Don't forget, there is always someone
Who try to help you to see the truth
A truth that isn't yours. Follow you heart.
Do what the whisper in your mind says.
Don't think you're a fool or that you're mad
You're unique, the way you live doesn't matter
It makes no difference except on your hapiness
Don't let the chance soar away, grab it!
The only good way to live is your own way
The one you can't avoid, the one that haunt you
This doesn't mean your way is going to be easy
Because reality has no mercy, reality isn't human
But, don't give up, try agin, do it again
Your way will have no end if you dare to do it
You'll find your heart filled with the energy to go on
The one coming from inside of you will flow
Reality isn't easy. Reality isn't human
Reality has no mercy. But don't forget!
If you dare to try to make your dreams real
They'll come true, one day or another.
Reality has no mercy. But don't forget!
If you dare to try to make your dreams real
They'll come true, one day or another.
In a way or another, life isn't easy
There is always a duty waiting for us
And now how can we feel free to live?
The solution is to be ourselves.
Don't forget, there is always someone
Who try to help you to see the truth
A truth that isn't yours. Follow you heart.
Do what the whisper in your mind says.
Don't think you're a fool or that you're mad
You're unique, the way you live doesn't matter
It makes no difference except on your hapiness
Don't let the chance soar away, grab it!
The only good way to live is your own way
The one you can't avoid, the one that haunt you
This doesn't mean your way is going to be easy
Because reality has no mercy, reality isn't human
But, don't give up, try agin, do it again
Your way will have no end if you dare to do it
You'll find your heart filled with the energy to go on
The one coming from inside of you will flow
Reality isn't easy. Reality isn't human
Reality has no mercy. But don't forget!
If you dare to try to make your dreams real
They'll come true, one day or another.
dimanche 18 novembre 2012
Shameful dreams
I don't beleive in them
All my life, I was told
It's impossible, you're a loony
Those dreams won't come true
When you asked me once
What are my dreams
I answered what I was told
Like a good girl
I'm so sorry, if I lied
It's so hard to trust
That what I have inside
Is important, worthwhile
Through your love
I tried to follow my heart
To give him a chance
To spread my wings
But, all I finally did
Is to lose the reasons
Why I have the courage
To wake up and live
Nothing remains except
That shame around me
Full of gloomy regrets
A life without meaning
Then, at the end, fighting
To overcome my pain
I found out inside of me
The words of my dreams
All my life, I was told
It's impossible, you're a loony
Those dreams won't come true
When you asked me once
What are my dreams
I answered what I was told
Like a good girl
I'm so sorry, if I lied
It's so hard to trust
That what I have inside
Is important, worthwhile
Through your love
I tried to follow my heart
To give him a chance
To spread my wings
But, all I finally did
Is to lose the reasons
Why I have the courage
To wake up and live
Nothing remains except
That shame around me
Full of gloomy regrets
A life without meaning
Then, at the end, fighting
To overcome my pain
I found out inside of me
The words of my dreams
jeudi 15 novembre 2012
Expédition
Les yeux fermés, le coeur sans réception
Recroquevillé en lui-même, absorption
Emmurré dans ses entraiiles, alinéation
Il ressasse sans cesse ce passé, agitation
Frisson transit de peur, démolition
Il se laisse impressionner, abdication
Par sa douleur, suffocation
Encore et encore, accumulation
En fait le centre de sa vie, fixation
Une auto-flagellation, libération
Un geste désespéré, extirpation
D'un destin malheureux, prolongation
Il cherche la transcendance, prospection
Fouille et fuit sa mémoire, répétition
À la recherche d'un petit trésor perdu,
D'un paradis qui ne fut pas, extinction
Une promesse non tenue, exilation
Frappé de réalité, stupéfiction
État de choc, liquéfaction
J'attends la trame lourde, lacération
Je la ressens, la vit, synchronisation
Je l'accompagne, avec émotion
Je suis une ombre, discrétion
Chemin de croix, crispation
Sacrifice utile? épuration
L'impardonnable à soi, immolation
Un pieu dans le coeur, suppuration
Et ne le laisse pas en paix, expiation
Il voyage aux enfers, détention
Un allez-simple, réglementation
Nul ne peut le rejoindre, pressurisation
En silence, présente, contribution
Je n'abandonne pas, continuation
En amie, je suis mon coeur, exhortation
J'irai même aux enfers, imperfection
Besoin de vivre, malgré l'insatisfaction
Exhaltation ou décompensation
C'est sans démission, avec conviction
Jusqu'au bout, sans culpabilisation
Recroquevillé en lui-même, absorption
Emmurré dans ses entraiiles, alinéation
Il ressasse sans cesse ce passé, agitation
Frisson transit de peur, démolition
Il se laisse impressionner, abdication
Par sa douleur, suffocation
Encore et encore, accumulation
En fait le centre de sa vie, fixation
Une auto-flagellation, libération
Un geste désespéré, extirpation
D'un destin malheureux, prolongation
Il cherche la transcendance, prospection
Fouille et fuit sa mémoire, répétition
À la recherche d'un petit trésor perdu,
D'un paradis qui ne fut pas, extinction
Une promesse non tenue, exilation
Frappé de réalité, stupéfiction
État de choc, liquéfaction
J'attends la trame lourde, lacération
Je la ressens, la vit, synchronisation
Je l'accompagne, avec émotion
Je suis une ombre, discrétion
Chemin de croix, crispation
Sacrifice utile? épuration
L'impardonnable à soi, immolation
Un pieu dans le coeur, suppuration
Et ne le laisse pas en paix, expiation
Il voyage aux enfers, détention
Un allez-simple, réglementation
Nul ne peut le rejoindre, pressurisation
En silence, présente, contribution
Je n'abandonne pas, continuation
En amie, je suis mon coeur, exhortation
J'irai même aux enfers, imperfection
Besoin de vivre, malgré l'insatisfaction
Exhaltation ou décompensation
C'est sans démission, avec conviction
Jusqu'au bout, sans culpabilisation
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